Chacun a sa cartographie chez soi, tantôt colorée, tantôt grise. Les lignes et les divisions courent dans le temps lequel serait la vie même en une forme illustrée. Nous serions ainsi guidés à d’autres villes. Cela est notre façon de rencontrer un monde du coeur. Le contour est partout, mais on s’y égare facilement.
(mon dessin)
Je ne suis pas obsédée des psychiatres du cirque. Non, ô non, ce ne sera qu’une apparence prétentieuse si je parais porter une telle apparence. Ecoutez donc un concept maintenant. Une idée nous explique les réseaux nerveux ou ceux de neutrons étant similaires aux cartes urbaines. Là se trouvent tant des angles, des lignes verticales, des plats horizontaux. Dans la grande ville, il y a aussi toujours des sites de construction de la même manière dont on rétablit ce qui se perdait chez son coeur. Le bon travail! Il faut! Mais le piège, oui, des pièges! Qu’ils soient à l’ubiquité! Justement c’est mon dernier essai à la fin duquel Je sauva le monde entier et tous les êtres ainsi que toutes les créatures par la collaboration miraculeuse avec Dieu. Mais sachez ce qui se passe après cet acte sublimement noble et créatif. C’est moi qui écrivis tout. Ce sont cependant les têtes de pomme de terres et les psychiatres du cirque qui déclarèrent que ce fussent eux qui l’ont écrit! Et cell-ci et celui-là se retiennent en leur propre exhibitionnisme en démontrant des certificats de quelconque! Comment ç’arrive! Que se cache derrière ce faux concept! Les certificats! Les diplômes! Les éducations! Les hautes écoles pour les cours, donnés par les agrégés en chagrin si profond! Ils sont en effect tous en lamentations car étant destinés à respirer leur sort et à exaspérer en leur mauvais bilan dans l’établissement secret sous sol. Tout est fictif, quand même ce n’est pas amusant du tout pour eux C’est pour cela qu’ils essaient de persuader le peuple à tous les magasins locaux de me chasser par répétant sans fatigue combien ils n’aiment pas mes écrits et que je sois dangereuse. Ah oui, chacun a sa raison. Je ne les blâme pas pour ça.
Et cette entité du mal! Cent billions des êtres vivants ouvrirent leurs bonté et la Terre et l’univers renoncèrent à se détruire. Lequel est mieux à la fin, le leur et …. le mien?! Attention et attendez, qui écrivit tout et le créa? Oui, d’accord, c’est Dieu. Pourquoi pas?
Dans une chambre médicalement psyco-thérapeutique du docteur agrégé en psychologie à l’étage haut du bâtiment de glace, un savant de l’ontologie parle d’une série de ses rêves au psychiatre. Ce sont des rêves métaphysiques et beaux, ou des cauchemars enfantins? Il lui dit que cela commence toujours de la même façon mais finit toujours d’une manière différente. …. je suis toujours ici avec vous, Docteur, quand ça commence …. toujours comme ça …. oui, je sais, je suis pas savant, ne connais rien d’ontologie …. mais c’est vous qui me dites toujours la même chose sur moi et ma vie, mon occupation et ma famille, …. non, selon vous je n’ai pas de femme au courant …. mais je suis tombé en amour ou je suis jamais, ça tout dépend de l’arrière-plan de mon rêve ….. Vous et moi, c’est à dire nous qui sommes ici, dans cette chambre du bâtiment haut au style de future, fait en glace, métaux fins partout, nous sommes en très haut, entourés de l’air claire et pure, le ciel en bas, nous sommes ici dans cette chambre carrée et ronde, cercle en même temps angulaire, des peintures abstraites rangées sur un panneau derrière votre fauteuil en matériaux de vraies fleurs, eh bien quel luxe à vous! moi, je suis toujours sur cette chaise de bois, simple et dure, qui ne me donne aucun comfort.
Dans mon rêve à une nuit mais ici il fait toujours un plein jour avec le ciel très bleu comme un bijou, vous êtes tombé à votre sommeil tout à coup et ça, aussi toujours est la même chose par qui tout commence différemment à chaque fois.
Par le mur de glace, j’ai vu des voitures volantes à la circulation acrobatique. Par ça, j’ai compris que c’était le future lointain qui soit concerné à ce rêve. Un taxi volant est venu et il s’est arrêté près de le mur transparente. Le conducteur me saluait et la glace s’ouvra. J’y suis monté. A ce moment, je me demandai si je devrais vous réveiller pour inviter au vol avec moi. Non, ô non, c’est pas bon car il est endormi dans son rêve de l’ontologie, on y va sans lui, me dit le conducteur. Ainsi j’en suis parti envers les cieux.
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Un cartographe à l’ère très ancienne mit son pas à un long voyage pour trouver un patronage royal. Le paysage sans arbres verts dans le vent de sable, il dut s’abriger souvent sous la plante forte contre le climat du désert. Son invention était la cartographie dimensionnelle hors de la surface plate. L’otil de configuration était plus petit qu’une pierre portée à la main. Pendant des années il marchait dans le désert et il ne rencontra que des animaux et des oiseaux après la première année de son voyage dans lequel le peuple du pays de sable lui avait aidé pour qu’il y survécût. On lui demandait et dit. Pourquoi tu te diriges vers la terre de rien, ayant quitté ton pays de verdures et de l’eau? Là-bas dans cette direction à laquelle tu veux continuer ton pas à pieds, il n’y a rien de bon pour les humains comme nous et toi. Arrête-toi ici, renonce à ton ambition, retourne à ton pays ou reste chez nous si tu le désires, l’histoire du royaume dont tu parles n’est qu’un récit ancien comme un rêve du sable soufflé au vent. Le cartographe secoua légèrement la tête et leur répondit. Ce que je porte est le secret de tout mais j’ai besoin plus des minéraux bleus pour élaborer l’outil de configuration sous la protection du roi que je cherche, sinon je serai torturé et tué par de mauvais rois pour l’outil désiré que j’ai. Personne ne le croyait et ils conclurent que le voyageur solitaire fût fou. Le secret de l’univers? Regardez-le! Il ne porte presque rien avec lui, où il cache le secret si grand?
Sa mission paraissant suicidaire aux yeux de ses contemporains ne finit pas en cruauté ni en fantaisie. Le fait, c’est quand même qu’il est vrai, comme le peuple du sable prévit, que le cartographe n’y survécut pas tout seul durant son voyage à atteindre le pays qui n’existe pas. Il s’éteignit en tranquillité sous les cieux de nuit brillant avec les étoiles comme les bijoux.
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On n’a pas besoin de trop d’élucidation analytique ni d’explication théorique car telles choses gâchent ce qui vaut mieux de se laisser en silence sans discours spéculatifs ni pédanterie à y ajouter. Le pire est de rater et gâter un conte par le transformant en un jeu psychologique de suspension avec des jets effectifs d’adrenarine comme des effets à y insérer. Il y a tel genre de littérature et cela est bien en tant que tel. Mais ce n’est pas notre cas chez mon récit fictif ici. Je n’ai pas besoin non plus d’être évaluée comme si je sois une participante au cours d’écrire à l’université de quelconque. Malgré tout, cela cependant, je me permets d’ajouter ce qui suit à l’événement décrit au-dessus à l’égard de l’homme qui partit aux cieux de la chambre du bâtiment de glace.
Un jour d’avril au printemps qui arriva un peu tard, une mère de la village rustique s’aperçut qu’il y avait quelque chose d’anormal sur son fils qui cessa tout à coup à démontrer tous les signes détectables de ses activités normales et quotidiennes. Elle contacta précipitamment ses amis et voisins de la ville où son fils habite dans un petit studio. Son amie qui tenait une clé copiée y entra et trouva aucune évidence qui la fit suspecter de mauvais choses qui lui soient arrivées dans son studio. Tout était normal sauf que son absence pendant des jours fût notablement vraie. Leur relation devint froide mais elle était encore familière à sa routine et comment ses jours seraient. Elle fit un coup électronique à un ami et il lui donna le numéro de téléphone portable de l’homme dont le nom qu’elle ne reconnut que très vaguement. Est-ce lui? Celui qui habite à une grande maison abandonnée mais capacité habille de s’en occuper sans payer rien à l’agent immobilier ni à l’autorité publique? Elle l’appela. L’homme étiez en train de voyager au sud. Par la conversation téléphonique, elle obtint l’addresse de la maison et comment trouver la clé qui en effet devrait être dans un trou du grand chêne à côté du garage complètement en ruine. Il lui donna aussi l’instruction vocale à recorder afin qu’elle se navigue sans difficulté dans la très grande maison étant là depuis cent ans, ayant été altérée, changée, transformée, et partiellement brûlée, détruite par des accidents naturelles, et successivement réparée, finalement abandonnée pour son histoire en somme. Son ami était permis de l’utiliser librement mais il préférait tout seul à l’étage le plus haut, elle l’a appris. Mais quelle sorte de relation s’explique précisément, celle entre l’homme et son ami qui a disparu? L’amitié? Le travail en mi-temps pour son ami? Je suis psychiatre, dit l’homme à elle au bout de leur conversation.
Isolée presque, la maison se situait loine de la gare qui était le dernier arrêt en tant que terminaison de la ligne croisée à une autre entourant le centre de la ville. De la gare à la maison, il faut prendre plus de trois quart d’heure à pieds. Elle s’est demandée comment son ami se fréquentait en cette distance à la maison sans voiture. Elle y alla toute seule. Des amis lui proposèrent l’acte co-opératif mais elle insista, car à son sens intuitif, il aurait dû exister une voie qu’il a prise et qu’elle ne puisse trouver que par étant seule. Il y avait des champs, il y avait aussi des bois, elle vit des vaches et des chevaux et c’est un peu incroyable de trouver telles vues au terrain périphérique de la grande ville, se dit-elle. La maison apparut. Tant pis pour elle car la connaissance de l’architechture lui manquait. Mais ça doit être un style du gothique charpenterie mélangé avec quelque chose plus grande faites en des lignes courbées et exigeantes aux yeux. Belle? Pas tout à fait. Le fait sans contestation, c’est que la maison se faisait très fatigante sans attentions soigneuses à lui donner. Elle stationna son Buick près du garage plein des charactères. Le trou du chêne était profond et sa main devait chercher la clé par furetant de petits morceaux organiques en variété des saisons qui précèdent le printemps. C’est à dire que cette clé dans le trou n’est pas pour l’usage fréquent, elle l’a compris.
Elle y entra. Elle suivit ce que dit la voix de l’homme recordée à sa phone portable. Des chambres grandes, des chambres petites, des couloires sinueux, des couloirs droits. Ouvrez la porte à gauche pour entrer la chambre, la voix dit. Vous y voyez l’intérieur spécialement décoré par un artiste inouï du modernisme post-impressionisme, qui habitait à cette maison et s’égarait. De telle façon, la voix lui instruisait où aller et il était impossible pour elle de ne pas s’apercevoir que ce ne serait qu’un guide de voir tout dans la maison. En effet, l’espace divisé de murs et de chambres et de salons était rien d’autre que labyrinthine. Et elle n’avait jamais pu imaginer que la maison était si grande dedans. L’air lourd sans lucidité, l’ordeur des animaux et la fragrance fleurée ou l’ancien parfume. Elle éteignit la phone. Il y avait tant de peintures sur tous les murs. Paysages verts, objets sur la table, fleurs, maisons, dames, la mer, batailles aux champs, couronnement, bébé et chien, la mère et son bébé, chevaliers et roi, deux amants volant avec des animaux à la nuit bleue, Jésus devant la foule et la crucifixion. Il y avait tant de peintures abstraites aussi. Géométriquement si belles, lignes, angles, circles, hyperboles et petit pâle rouge-rose triangulaire au centre de bleu intense de la nuit profonde. L’harmonie de toutes les couleurs et la cacophonie de leur discordance. Elle était subitement au même endroit exact où elle avait été. Cette fois elle s’est tourné à la direction opposée à celle que la voix lui avait suggérée. Elle vit l’escalier spiral et étroit. Elle y monta. Depuis lors, personne ne la revoit car elle n’en est jamais revenue à notre monde. L’enquête et l’investigation se faisaient pour trouver ces deux jeunes perdus qui étaient une fois amants. La maison en question a été démolie il y a longtemps, c’est à dire qu’elle n’existait pas au temps de la disparation des jeunes et le numéro de téléphone de l’homme n’était pas le sien. Cet homme au sujet, qui avait une relation amicale avec le jeune, se perdait lui aussi durant son voyage au sud après une série des défaillances de ses transactions immobilières.
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Chaque écrivain a sa cartographie du coeur à laquelle se croise celle du lecteur. On n’a pas besoin de trop d’élucidation analytique ni d’explication théorique car telles choses gâchent ce qui vaut mieux de se laisser en silence. Ce concept contredirait la raison d’être des érudits et certains autres. Je ne suis pas toujours combattive contre les psychiatres qui auraient leurs cartographies subtiles chez eux. On s’attend en amour la venue des psychiatres capable de s’y égarer.