Le geste poétique ne se définit pas en prose préparé par sa nécessité éphémère des moments qui ne sauraient son arrêt. Le temps se tourne en arrière en dansant? J’aime bien les prophètes. Ils savent une façon de jouer au temps au sérieux sans l’esprit de jeux. Pour cela, il faut penser aux prières sous des arbres de la consolation contre tous les récits inutiles. Ce devrait être le geste des prophètes en un oubli. Un écrit serait pourtant de la musique. Dieu raconte une histoire, qui n’est pas une, et on ne peut la tenir que par les yeux à voir la cadence du monde. Nos gestes poétiques donc ne s’y arrêtent pas.
(mon collage)
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La sagesse d’un livre se redressa en sa fierté faible dans le sable. Ce livre n’avait été lu par personne et cette origine ne fut pas reconnu même par l’ange. Il est vrai que le fait dont je parle était ancien. C’est le temps même avant que naquissent tous les temps qui puissent faire scintiller la première étoile. Ainsi parla le maître aux ceux qui le suivaient. Et tout à coup les disciples ont reconnu que chacun porte le livre chez soi dans son coeur et le temps de commencer à le lire revint. Le maître leur dit. Vous comprenez le temps à le commencer, vous l’avez déjà lu. Ceci est un récit d’un grain de sable.
Un prophète justement sorti d’un pays de l’oubli rencontra une petite fille qui porta sa chatte dans les bras. Il pensa que le lieu fût une forêt énorme où de ruisseaux lisses s’écoulaient en désignant une carte de nature pour guider ceux qui s’y égarent. Il dit à la fille: Tu dois aller là-bas, suivis ce ruisseau jusqu’où deux autres s’en divergent et tu prends celui qui va vers la droite, et après cela il faut que tu continues contre le soleil. Les arbres sont ici géants et brillants. De grands oiseaux volent en très haut sans mouvoir les ailes. Les animaux couverts d’aumure guerrière courent ou s’arrêtent et leurs tailles se diffèrent et les couleurs sont variées. Ils hurlent de temps en temps. Attention donc, mais ils ne te mangent pas car leurs bouches sont fort fermées. Tu dois aller toute seule car je ne peux pas aller avec toi. Je dois rester ici pour un rendez-vous avec Dieu à ce point exact. La fille l’écouta attentivement à la fois s’aperçut qu’une foule commença à se former autour d’elle et lui, et quelques uns parlaient en l’air urgent aux leurs phones portables. Dès qu’elle entendit s’approcher des sirènes croisées de voitures policières et de l’hôpital, elle chargea sa chatte au bras gauche seul et prit la main du prophète et dit au foule à la voix le plus hautement possible, poussant de l’air des poumons avec toute énergie qu’elle puisse élever. Ses paroles: Oh, mon oncle! C’est mon oncle que je ne vois pas depuis ma naissance! Oh, je suis si contente de te voir! Mon cher oncle, comment vas tu? En saisissant un moment de l’étonnement de la foule, elle se mis en une position de courir avec lui. Cependant, puisqu’il aurait un rendez-vous avec Dieu à ce point exact, l’essai de l’avancement fut en résistance. Elle lui dit hâtivement, ma chatte me dit que Dieu veut te voir là-bas, au bout de ce ruisseau, crois ce que ma chatte dit, s’il te plait! Quand des gens d’armes y arrivèrent, le prophète et la fille avec sa chatte sont déjà partis du site exact où le rendez-vous initial avec Dieu aurait dû avoir lieu, c’était le Sable Street au front de la librairie, Les Libres Jamais Lus.
Les serviteurs et serveuses chez Dîners reconnurent la petite fille dont les parents appartenant au cadre d’une grande firme d’investissements internationaux. La famille était une célébrité de la ville et des frères et des soeurs de la fille ont déjà commencé à opérer leurs businesses affiliés aux actionnaires privilégiés de leurs pouvoirs explicitement liés à des marchés divers. Il n’y avait pas de secret concernant le scandale de la famille. Même sans les détailles, on savait que la cadette des enfants, c’est à dire cette petite fille de dix ans, ne se décrivait pas comme l’enfant la plus heureuse du monde. Le fait était très loin de cela. Mais cet homme? Qui est-ce vraiment? Il était grand et maigre avec les longues cheveux noires passant les épaules, la peau du visage très sèche, personne ne saurait quand il s’est rasé à la dernière fois mais ce n’était pas sûrement très récent, portant une cape pliée et repliée intérieurement et reprises extérieurement à plusieurs reprises, avec les sandales à lacet qui paraissent se faire au temps d’antan. Le plus remarquable n’était pourtant pas son apparence bien qu’elle fût suffisamment étonnante, mais son implicite existence de sa propre nature en tranquillité et paix à la fois dure et farouche comme un être sauvage contre la menace. Cet homme est presque biblique, on pensa ainsi sans mot à s’en confirmer. En entrant dans le restaurant Dîners, la fille jeta un coup d’oeil vers la salle entière et fixa son regard sur le comptoir, les serviteurs et serveuses, et des caméras de sécurité à l’entrée et au plafond. Ensuite, elle éjectait sa déclaration fameuse. C’est mon oncle que je ne vois pas très longtemps! Et à lui: Mon cher oncle, on va s’asseoir! Les pensées des autres: Alors, que faisons nous? En profitant du congé du manageur, un consentement a été atteint immédiatement parmi eux, c’était: on va voir ce qui se passera jusqu’à ce que quelque chose ait lieu. Or, cette fille était déjà plus d’une fille à cause des raisons familiales qui la privent du bonheur de normalité. En choisissant une table par elle-même, elle dit à tout peuple aux tables: Ne prenez pas de photo de nous s’il vous plait, je ne suis qu’une enfant et le cas est privé, donc mettez vos phones sur la table, sinon mes parents vous jetteront une action légale.
J’ai été kidnappée, c’est il y a deux ans. Elle le lui dit à la table sélectionnée par elle-même, loin des fenêtres, la plus obscure à l’égard de sa disposition, tout près de l’accès à la salle de travail pour les cuisiniers. Le chef lui-même apporta à elle la glace de fruits avec de la crème fraiche et du sirop de chocolat au lait, et à lui un petit verre de miel pur demandé spécialement. Quant à la sauterelle, on ne sert pas telle chose était un refus ayant très simplement été prononcé. Le grand verre de la glace était une forme d’une fleur de tulipe trop ouverte et à la périphérie des mûrs, fraises, pièces de banane coupé, tous prêtes à s’en déborder, et la crème fraiche se levant comme si une tour de Babel en train de élever. Sur la trace spirale de la tour se plaçait du sirop de chocolat au lait avec une certaine délicatesse. Le dessus se trouvait la glace à la vanille et comment commencer serait une question soulevée par toutes les sensitivités d’ordinaire. Elle prit la cerise de la tour de la crème, c’était en haut, et c’était aussi son premier geste auto-signalisé pour qu’elle commence à parler de son histoire d’être kidnappée au prophète.
J’ai vu un chat pâle-orange marcher seul près de la librairie au bord de … du ruisseau. C’était elle. (Justement à ce moment-là, sa chatte au pelage variolé qui s’était cachée sous des plis assez compliqués de la cape du prophète s’en matérialisa par sa tête). Je suis toujours très adroite à tricher des accompagnards payés par mes parents et ce jour aussi, je me suis glissée du limousine, c’est un animal d’armure chère et utilisé pour la transportation très privée, et je me promenais seule, j’ai vu le chat, et c’était en effet la chatte car c’était elle. (A ce moment-là, son geste qui suivit le premier se mit à la périphérie, c’est à dire aux fruits). C’est pas bon pour une chatte de marcher seule dans la …. grande forêt. Je l’ai suivie, elle est entrée dans une rue, petite ruisseau ça veut dire, moi aussi j’y suis entrée, et des gens qui y étaient m’ont attrapée et emportée très très rapidement dans leur van blanc stationné dans la … le petit ruisseau, et j’ai été kidnappée. (Elle prononça cette dernière sentence avec une fierté distinguée comme si parlant du début de son voyage à l’espace).
Il y avait trois phases dans le kidnapping de Juin Saison, la plus jeune fille de la billionaire famille Saison. Elle n’avait que huit ans quand séduite tactiquement par la petite chatte pâle-orange ou au pelage variolé bien trainée. A la première phase, Monsieur Saison, qui releva le business du parc d’amusement opéré localement par la famille à une chaîne des large techno lands nationaux et devint aussi un billionaire par des investissements presque prévoyants, refusa la première proposition de la rançon et commença à la négocier pour la somme à réduire. Ce monsieur était le mari âgé de la mère de Juin et cet union n’avait qu’une de plusieurs à laquelle il s’engageait légalement dans sa vie. Durant la négociation, Madame Saison, mère de Juin, décida fortement en une détermination que rien ne puisse changer, de poursuivre la divorce dès que sa fille serait retournée. A la seconde phase, les kidnappeurs et Juin faisaient une co-opération car ils prévirent que Monsieur Saison ne consentirait pas à la rançon plus de $1/2M. Le monsieur se défendait en insistant que rien ne soit sûr concernant le fait à prouver que Juin ait été née de son mariage et il ne se confia pas du résultat du test DNA. On peut faire n’importe quoi, dit-il. Il avait déjà quinze enfants et plus de petits-enfants. Le plan initialisé par les kidnappeurs avait été plus ou moins ordinaire, cependant sans violence, mais graduellement chez eux naquit une notion sur combien ils étaient optimistes. Et quant à Juin, elle exhibait sans gêne sa volonté de s’accorder avec la vie des kidnappeurs à un terme indéfini. Ils étaient trois jeune gens et deux filles, techno pros-bohémiens dont la connaissance de la technologie digitale leur permit de créer de HD définitions d’audio et de vidéo en employant des images de Juin et sa voix avec des films d’horreur à y imposer. C’était le début de la seconde phase. A la vue de ces vidéos, Madame Saison perdit sa conscience et se coucha au lit dans l’hôpital en un très haut degré de fièvre. Monsieur Saison, de sa part, perçut à l’immédiat une fausseté et confirma qu’il avait raison sur eux. Ils ne sont pas de kidnappeurs mais ils ne sont que des kids, s’en affirma-t-il. Et il prit son phone portable et appela aux plusieurs journaux et à des médias majeurs pour lancer son propre plan.
La troisième phase était à l’apogée de toute affaire, la trompette-tempête, une tragédie ou un miracle qui se roulaient ou se fermaient, cela dépend tout de l’interprétation assez ouverte. Juin habitait avec les kidnappeurs déjà en quelques mois dans un site ruiné et abandonné d’un ancien parc d’amusement sans technologies, ayant été établi dans la nature, loin de la ville ni du village, et ce fait déprivait des propriétaires le profits espérés ainsi que des investissements à attirer. Le business est donc tombé dans la faillite. Le site a été acheté par une organisation de non-profits, partiellement avec des fonds public, mais sous cette guise se trouvait une entité de renverser leurs achats pour la gagne maxime en l’effort minime ou sans effort. Donc le site laissait aller pour le moment jusqu’à équivaloir à la valeur aux alentours qui s’augmenterait éventuellement. Il y avait dix personnes qui y habitaient à la façon bohémienne et ils modifiaient le système de caméras de sécurité. Les kidnappeurs et Juin s’occupaient dans un carrousel et le bureau de l’équipement. Des autres attachaient leurs tentes à quelconque possible à y attacher pour attester leur créativité pour une nouveauté de construction habitable. Juin et la chatte de temps en temps dormaient dans une voiture à quatre chevaux du tour de chevaux de bois. Sans électricité en principe rien ne meuve. A la nuit, on vit avec bougies, lampes de l’huile, et des générateur portables de l’électricité. Sous les étoiles, autours du feu, ils jouaient lute, flute, guitare, violin, tambour, en chantant et dansant, ou parlaient de dieux et de la nature jusqu’à l’aube. Dès son arrivée involontaire, Juin apprit que la chatte s’appelle Cahier. Elle note tout dans les yeux, c’est pour ça, ce nom. Une jeune fille dit à Juin. Cette fille était l’amie du planneur du kidnapping de Juin, mais elle dit discrètement à Juin ceci. Moi, à vrai dire, j’aime celui qui habite seul en bas de la Montée de Jet. A ce point, Juin prit la dernière fraise du verre dont la forme était une tulipe trop ouverte avec sa cuiller. Avant de la faire un pop-in dans sa bouche, elle regarda le prophète et dit au sérieux avec une gravité au-delà de tout. C’est toi qui habitait en bas de la Montée de Jet là, n’est-ce pas?
L’assaut médiatique de surpris à la nuit fut soigneusement préparé avec la police. Toutes les controversies prédictables se mirent à l’avance en stoppeur par des ressources différentes liées aux entreprises manégées par Monsieur Saison. C’était ‘‘l’une de telle sorte’’ type de l’événement en direct, diffusé à l’audience exclusive en live via média en ligne, et pour TV au public avec un peu de délais et un film documentaire au théâtre plus tard dont la première aurait lieu à la chaîne théâtrale de techno lands de Monsieur Saison. Si n’importe quel danger se perçoit, que minime ce soit, il faudra tirer l’arme à se défendre sans condition attachée, c’était une ordre officiellement approuvée par l’autorité publique. Une centaine de voitures policières, des centaines de voitures de journalistes, de média, et de l’équipe cinématique se ressemblaient et le caravan se mouvait en calme vers le parc d’amusement abandonné. C’était la nuit de la lune claire d’abord et le ciel est devenu nuageux. Premièrement, des gens et Juin entendirent le son mécanique et régulier au loin. Cahier hissa et courba son corps. Zaque, planneur du kidnapping, se mit sur la terre et y poussa son oreille et cria. Ils viennent! Chacun chercha en hâte de l’information relative sur les réseaux en ligne et trouva le point des signaux de l’internet duquel ils avaient dépendu a été décrypté et altéré. Personne ne pouvait dire quand exactement ç’arriva. Mais on n’a pas de temps de discuter! Seulement des choses importantes et essentiales se tiennent avec eux pour l’enfui urgent. Juin leur dit hautement qu’elle puisse persuader à la police qu’il n’ y avait rien de mauvais à faire à elle et qu’elle était heureuse de vivre avec eux. Ils lui dit, non ce n’est pas seulement ça, mais nous avons besoin de notre liberté. Juin l’a compris et essayé de monter dans le van de Zaque. Oh, non, chérie! Tu dois rester ici! Oh, non, je veux aller avec tout le monde! Et cette scène du haut drame de l’emotion a été interceptée par des bruits de hélicoptères qui s’approcheaient.
Quand les panneaux de la lumières mis aux camions s’alignaient, prêts à illuminer le site entier du parc d’amusement abandonné, des reporteurs ici et là commencèrent à parler aux caméra. Bonsoir! Nous sommes justement arrivés au terrain de l’ancien parc Le Lieu d’Amusement où se cachent les criminels monstrueux qui torturent une petite fille de huit ans, en demandent sans cesse l’augmentation de la rançon à son père dont le coeur est naturellement déchiré, fané, découragé, comme un papier ultra-fin en fragilité, oh! quelle cruauté impitoyable! Mais assurez-vous en. La justice décisive arrivera sans retard pour sauver la petite fille à retourner aux bras de son pères et de sa mère! Et avec un signe de ‘‘Go!’’ simultanément fait pour toutes les équipes de l’électricité, toutes les lumières aux panneaux s’éclairient en même temps avec une force lumineuse de celle du grand stade au jeu sportif de la nuit. Les hélicoptères jetaient des spots de lumière sur la terre, qui s’y glissaient comme des prédateurs à la recherche de leur proies. Aucun d’eux ne sont pas encore partis du site. Ils se cachaient dans l’ombre et ce délais fut causé par Férrie, amie de Zaque car elle a disparu pour chercher l’homme mystérieux qui habite en bas de la Montée de Jet, surnommé le prophète. Zaque ne voulut pas en partir sans Férrie qui ne voulut pas en partir sans le prophète et tous les autres ne voulurent pas en partir sans Zaque et Juin voulut être avec eux au lieu de retourner à la vie chez la famille Saison. A ce moment-là, la pluie commença à tomber. D’abord légèrement. Ensuite, régulièrement. Et tout à coup fortement avec le tonnerre qui effaça tous les sons. Férrie! Zaque cria subitement son nom comme si répondant à l’appel de la force de la nature. Au loin s’entendait la voix de Férrie. Prophète, Proooophèèètttte! Zaque se lança dans la direction de la Montée de Jet en s’absorbant dans l’eau comme une inondation, c’était en effet une tempête que personne ne prévoyait, ni annoncée par la météo-science pour cette nuit.
En le vent si fort, les hélicoptères se retirèrent. Les gens d’arme reçurent l’ordre de démission de la nuit. Les médias et les journalistes ont changé leurs angles et commencèrent à reporter la venue extraordinaire d’une tempête violente sans alerte de n’importe quelle sorte. Pendant que monsieur Saison a parlé au phone avec l’agent de l’insurance qui couvre la cancellation du spectacle à cause des contingencies du climat hasardeux, les panneaux de lumières se sont coupés et des diversités de l’électrode eurent lieu et s’entendirent et se virent partout. Même en l’air se croisaient des courants électriques aériens en tant que, bien sûr, phénomène rare à observer. La pluie tombait comme une cataracte et le degré de la visibilité devint zéro. Dans cette tempête, une équipe du filme documentaire seule est devenue plus énergique, surtout celui qui la dirige, c’est à dire le réalisateur. C’était aussi lui qui remarqua que des lumières du parc d’amusement s’allumaient faiblement. Mais comment? Cela aurait dû être relatif au phénomène électroniquement mystérieux en une rareté singulière. Et le tonnerre, la foudre, l’éclair, l’autre tonnerre, l’autre foudre, l’autre éclair. Et le réalisateur le vit! Regardez-le, c’est quoi, là! Il cria en sortant de l’abri du van dans la cataracte, étant beaucoup plus que mouillé, se sentant devenir comme un poisson dans l’eau, malgré tout fixant son regard dans la direction de la Montée de Jet, et il vit encore la même chose à l’éclair, c’était une figure qui fut en train de monter des supports de et la voie de la Montée vers le sommet, au plus haut point. Le réalisateur s’avançait contre la force de la tempête vers la Montée, portant l’équipage du film et un outil de recording le son et ils entendit la voix crier Prophète, Proooophèèèttttte!
Le prophète atteignit le sommet de La Montée de Jet. En s’appuyant à rien, il était debout en si haut miraculeusement dans la tempête violente et commença à adresser au ciel et à la terre ses paroles, c’était comme suit. Ecoute-moi, la montagne! Ecoute-moi, la mer! Car c’est Dieu qui parle! Un tonnerre, une foudre, un éclair suivirent ce discours biblique. Le fait était quand même qu’il n’y avait pas de montagne ni la mer près du site, mais la tempête divinement s’insipirant qui frappa subitement tout. Toute la scène tomba dans un chaos et une série de confusions extrême ont eu lieu. On ne pouvait même pas conduire la voiture sans risque dans la tempête si forte. La colère de la nature ou son message d’une énigme mystérieuse se calmaient finalement à l’aube. Beaucoup de reporteurs restaient là ainsi que Monsieur Saison qui continua à prendre des photos à envoyer à l’agent de l’insurance. Le réalisateur en sommeil se trouva au plat sur la terre près de la Montée de Jet. Tous les bohémiens en sont partis avant l’aube. Juin se réveilla dans une voiture à quatre chevaux du tour de chevaux de bois. Cahier était avec elle.
Le prophète et Juin se regardèrent silencieusement et le chef du Dîners est venu à la table et murmura à Juin. Des agents policiers sous couverture sont à la table près de la fenêtre et dehors du restaurant dans la rue. Juin jeta un coup d’oeil au dehors et s’aperçut de la présence de son nouveau père qui était le neveu du cousin de Monsieur Saison avec les agents. Juin dit quelque chose rapidement au prophète et le chef le guida à la salle au fond pour le faire sortir de la porte derrière. Il aurait un rendez-vous avec Dieu au bout du ruisseau. Cahier resta avec elle. Finalement Cahier lui parla. Ce n’est qu’un récit d’un grain du sable dont tu te souviens, ne pleure pas donc ma chère.