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L’assemblée de rebelles était observée par la lune dans une forêt où quotidiennement se firent la chasse et le massacre. Ceux qui l’envahirent en fanfares de musique et de tambour prirent leur cruauté comme une joie de jeux. Malgré leur discussion sur la stratégie précise, la rebellion des animaux se mit en une terminaison d’échec spectaculaire. La lune s’inclina vers la nuit qui se circulait, car elle en était triste. Ses larmes devinrent les rosées du matin. Ce fut le soleil qui jeta son baiser tendre et brillant. Le jour se tournait autours de siècles dans lesquelles sans cesse se renouvelle la vie. Mais la lune qui s’en souvient pleure. Ses larmes deviennent les rosées du matin que l’on voit.
(mon dessin)
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Il y avait quatre enfants dont le temps s’écoule au-delà du rêve de tous les rêves dont le contenu n’ait jamais été imaginé par les savants de rêves. A ses amis, l’un dit aller conquérir le monde avec son chat qui était endormi presqu’en toute la journée tous les jours. Mon chat connait où se trouve la clef qui ouvre l’univers, il continua à déplier son projet d’établir sa monarchie universelle dont la validité s’intersecte au point de l’actualité mondiale et du rêve qui surpasse tout. Ce n’est qu’un rêve, un autre dit. L’autre: mais, ça, c’est exact, c’est le point de l’intersection. Le quatrième chargea tout sur lui et dit ceci. C’est moi qui suis ton chat. Un moment de silence qui les enveloppa en tant qu’éternité de l’enfance précieuse dont la gravité quand même ne soit pas reconnue ni proprement appréciée par les enfants, mais tel fait est très heureux car c’est le bonheur des enfants. Or, cependant ces quatre amis! Ils sont maintenant tout à coup dans un chariot de petits guerriers sans contexte raisonnable au sens du terme compris dans une normalité. En plus, ce sont quatre poulains du feu qui tirent le chariot! Et ces quatre enfants! Ils sont en effet les esprits de planètes! L’un est l’enfant de Mars, l’autre, celui de Saturne, l’autre, celui de Jupiter. Oh, non, non et non, pas encore! Nous voulons rester ici sur la Terre pour jouer plus! Le chariot d’or est lié au soleil qui pensa que ça suffit pour eux à cette occasion. Mais le quatrième est chanceux car il est l’enfant de la lune, esprit intime qui porte un grand rêve, étant endormi presqu’en toute la journée tous les jours. Il peut ainsi fournir tous les beaux rêves de la Terre aux enfants des planètes, car cet esprit lunaire est la clef de la porte à ouvrir l’univers.
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Le premier cinéaste apparut au début du huitième siècle en Afrique. Dans ce temps-là, la technologie familière à nous pour des rêves transférés en des images mouvant n’existait pas. Il voyait pourtant, tous les jours, les formes d’ombre en variété créées sous les nuages sur la terre et conclut que ce dût se faire par les yeux de Dieu unique qui désire une nouvelle communication avec le monde comme une série du récit. Il mémorisait toutes les formes d’ombre et leurs mouvements. Il était donc aussi un mnémoniste d’un hasard, dont le but en principe ne résida pas quand même singulièrement en mémorisation. Il voyageait du centre de l’Afrique à l’ouest pour augmenter le stockage de la mémoire formée de l’ombre dans son coeur. Quand il vit la mer pour la première fois dans sa vie, il suivit le bord vers le nord. Ensuite, à l’ouest. Il vit le sable massif de collines hautes et basses pour la première fois dans sa vie. Et il vit sa mémoire de les ombres créées se réalisa sur le sable et connut que c’était lui qui fut un miroir des yeux de Dieu. A nos jours n’esistent pas le terme à l’expliquer ni aucune expression adéquate pour nous à comprendre ce qui se passa à cet homme. Son âge était proche de celui de Jésus à la crucifixion. La couleur de sa peau était l’ébène. Il était le premier cinéaste du monde, réalisateur de son propre rêve. Le soleil était son collaborateur au jour et la lune à la nuit de tout mystère.
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Même tout avant le bilan municipal à compter le résultat prévu se voyant au concret du projet public de construire des réseaux de tunnels sous sol et sous la mer, la route élevée à l’exprès qui coupait la belle vue intégrale de la ville vers l’eau n’affectua pas le prix immobilier à abaisser au grand terme près de la baie. Dans la ville, elle s’était tenue en une bonne position à l’école privée de l’haute éducation comme professeure en sociologie et avait partagé l’apartement avec une amie locale, fille d’un district de l’ouest de la ville. Le quartier derrière la baie est le plus cher pour l’appartement à louer. Mais son employeur lui payait bien malgré son statut qui n’était qu’au plus bas parmi la faculté. Elle avait l’origine du sud du pays et ses aïeux étaient de races de diversité. La forme de ses yeux étaient amande, sa peau claire-brune, sa figure souple, cheveux légèrement bouclés, longues, brunes-rouges, affluentes. En bref elle était belle suivant l’avis common contre lequel ne se lève pas la contestation énergique. Elle avait quarante ans. On ne la donnait cependant que l’âge beaucoup plus jeune que son chiffre biologique par son apparence, ses traits physiques et comment elle se portait en mouvements. En plus, son esprit était délicat et son coeur, gentille. En somme, l’homme tombait amoureux à elle avec une extrême facilité. Un jour, un petit événement eut lieu dans un petit restaurant au bout de la rue assez sinueuse près d’un quai. Ma chère, je veux que tu sois ma femme. Celui-ci en une doute raisonnablement soupçonnable à l’égard de son comportement au sujet de l’amour, était un professeur prestigieux, âgé, marié avec des enfants qui entrèrent à l’université sans difficulté de n’importe quel genre. Elle lui dit. Si vous êtes sérieux de cela, je veux que vous le disiez à votre femme tout d’abord, sinon rien n’arrivera entre nous. Oh ma chère, c’est moi qui t’ai fait obtenir ta position fort competitive à gagner. Sans moi, tu aurais dû rester toujours comme une vendeuse de fruits au marché ouvert même à ce moment. Elle lui répondit. Je suis prête à redevenir une vendeuse d’épice et de fruits au marché et je n’ai jamais été diplômée en sociologie non plus, en plus le marché a été déjà fermé avant cette heure où nous sommes. Il lui dit. Oh! Que honnêtement tu parles et t’exprimes en une délicatesse d’une précision sans la banalité majoritaire! Je t’aime. Il continua ainsi.
Ce professeur, jusqu’à ce point de sa vie privilégiée depuis sa naissance, n’ait jamais eu telle difficulté de séduire une femme qui vit dans son terrain spécifiquement avantageux à lui. Par ses expériences très riches en cela et à cause de ça, il sentait fortement qu’un échec lui viendrait accompagnant une profonde blessure qui puisse marquer sur sa fierté. L’autre fait est qu’il en effet contemplait une possibilité de son troisième mariage avec elle dont le talent ferait scintiller les dernières années de sa carrière dans une nouvelle lumière de la mytholo-sociologie. Mais la divorce était toujours l’affaire ultra-sensitive concernant les biens immobiliers ainsi que le contenue des compte bancaires avec la liquidité à considérer. Et il y avait d’autres choses. Sa deuxième femme fut enfantée quand elle était son étudiante et sa première femme le scandalisait au maxime pour initialiser le document de divorce qui conditionnait la vie du prof à partir de ce point dans un certain cadre. Elle était la prof en éthique-sociologie, spécialisée à la famille. Quant à sa deuxième femme, elle devint une réductrice de la maison des éditions académiques globalement reconnue, mais sa caractère s’endurcit, perdant sa candeur, et oui après tout, c’était la faute de ce casanova prof sans contrition de n’importe quelle sorte, qui continua à prononcer des paroles de séduction à notre belle dans le restaurant même à ce moment-là.
Un dimanche, la belle était en train de monter l’escalier spiral et étroit, en suivant l’agent immobilier qui ne parla pas du tout durant cette ascension à pieds, apparemment pour régulariser sa respiration. Le bâtiment était très étroit, sans ascenseur mécanique, entre deux bâtiments horizontalement plus grands et le lieu était tout à près du wharf populaire pour le tourisme. Cet ancien quartier était riche de l’éthinicité européenne, surtout celle de l’italien. A chaque étage du bâtiment, il n’y avait que deux appartements, l’un était studio, l’autre, une chambre à coucher. Un très petit studio au cinquième étage, le plus haut du bâtiment, coûte plus cher que l’appartement de deux ou trois chambres se situant loin de la baie dans la même ville, mais vivre seule en la convenance de toutes les activités était son désir car le rythme de sa vie est devenu si différent de celui de son amie qui travaillait du maint au soir et qu’elle ne voulut pas déranger pendant son sommeil. La belle perdit sa position de l’université. Je vous raconterai sans délais ce qui s’est passé mais pour maintenant, voyons l’agent immobilier. Voyez-la! C’est aimable, n’est ce pas? Finalement l’agent parla en lui montrant le studio. C’était l’espace à vivre le plus petit que la belle n’ait jamais vu dans sa vie. Ouvrir la porte d’entrée, on se trouve dans l’intérieur du petit espace équivalant à celui de se dresser comme une armoire spéciale avec une fenêtre, telle était la première impression. Elle mesura la chambre mentalement et s’assura qu’avec un lit, rien d’autre ne serait possible à y placer et qu’elle ne pourrait pas mouvoir sans toucher le lit ni le mur. A la gauche était un mur de brique au milieu duquel il y avait ouverture semi-ciculaire avec une surface, aussi petite que celle de deux cahiers si rangés platement, saillie vers l’espace minime à vivre. A l’autre côté du mur était un espace pour cuisiner, clos, et c’était finalement aimable, entouré de trois murs de brique. Là se trouvaient foyer, robinet, couler, frigo, et même lave-vaisselle! Cependant simplement, une personne seule pourrait s’y occuper pour cuisiner et cela serait maximum. Il y avait un couloir ou à proprement dire l’espace qui connecte trois parties du studio appartement et quelques pas suffisaient pour le traverser au bout où se trouvait la salle de bain dans laquelle, étonnement, se trouvait la baignoire. L’autre fenêtre s’ouvra sur le mur du couloir et se voyaient l’escalier extérieur d’urgence et le mur de brique du bâtiment prochain à l’extrême proximité. L’agent lui dit. Maintenant, on va monter? La meilleure partie est en haut.
La dernière portion de l’escalier les dirigeait au toit où s’établissaient le balcon aux cieux ou l’échafaudage pour l’esprit volant à y rester. Ce n’est qu’une métaphore, bien sûr. Ce palier ouvert sur le toit était aussi très petit, naturellement. Entouré de garde-corps, la surface porterait cinq ou six personnes debout si une distance minime qui les permet de conduire une sociabilité ordinaire ne compte pas. C’était un bon dimanche. Le ciel était haut et bleu. La vue couvrait la mer des toits, hauts et bas. Là se trouvaient aussi des hautes bâtiments de verre, nouveaux et ultra-urbains. Des nuages s’écoulaient et volaient des mouchettes. Des grues inclinaient leurs têtes en repos de leur salutation. Cette peinture panoramique était accentuée modestement par les cheminées omniprésentes et les équipements mécaniques de chaque bâtiment. La belle sentait pleinement la ville reliée aux cieux et à la nature d’une façon singulière. L’appament-studio était prêt à louer. L’agent finalisa le contrat très rapidement et la belle y déménagea tout de suite avec deux valises de voyage et un sac de couchage.
Le hasard et la chance pour nous sont des cadeaux divinement faits par Dieu. Notre vie, très souvent, n’est pourtant pas suffisamment longue pour déchiffrer l’énigme des cadeaux. La scène dans le restaurant au bout de la rue sinueuse se terminait avec Adieu déclaré par la belle au prof. Il insista une nuit partagée avec elle le plus tôt possible, sinon il lui proposa une voyage d’une semaine au bord de la mer dans un pays étranger en profitant de son participation à la conférence entant que plan alternatif. La belle l’écouta en mangeant le sorbet de mango après le dîner, boeuf rôti préparé en miel avec citron, herbes aromatiques surtout menthe. Le prof prit un plat de la salade du chef et ne mangea qu’un demi. Pour le dessert, le sorbet du jour était au prof et il ne le finit pas. Il lui dit. Ma chère, s’il vous plaît. Son comportement atteignit à l’air lamentable devant son sorbet fondu. Pour terminer cet événement avec le point final, la belle tint une petite tasse d’expresso pour la vider par trois gestes seules. Ensuite, Adieu. Elle le lui dit en prenant son sac et quitta la chaise, la table, le restaurant, le prof, tout cela signifiait qu’elle perdit son travail à ce moment. Quant au prof, il ne pouvait pas croire que cela vraiment avait eu à lui qui n’ait jamais été traité sans merci d’une telle manière par la femme à laquelle il a offert tant de choses avant l’affaire à actualiser. Or, à une table près de lui, il y avait par hasard un journaliste local qui était l’ami d’un ami d’une amie de sa deuxième femme actuelle! Ce qui suivait était déployé en une rapidité impressionnante. Deux femmes, la première et la deuxième se co-operaient en échangeant toute l’information partageable à l’égard de la belle. Le mécanisme de leurs psychologie n’était pas compliqué. Au fond, il s’agissait du fait que l’âge biologique de la belle ne leur plaisait pas. En un mot, ces deux femmes s’accordeaient au point sur la belle sans mots à prononcer mais se disant plutôt télépathiquement à l’immédiat. C’était simplement: elle n’est pas jeune et ça nous agacent.
La nuit de la pleine lune dans le ciel un peu nuageux avec le vent, c’est la plus belle nuit. Le ciel est bleu foncé en gris d’argent, poli comme l’eau calme. La lumière de la lune est claire et ombrée par des nuages s’écoulant. Se posant seule au toit, la belle aimait la nuit. Bien que ce ne fût pas en tranquillité d’un rêve surréel, il existait une paix quasi-contradictoirement mystique de la beauté mélangée avec des activités diverses des gens sur d’autres toits en la musique. Hip hop, pop, jazz, ballade, rock, canzone, et menuet de Mozart. Telle ambience la consolait aussi évidemment. Déçue, bien sûr, puisque ses manuscrits qu’elle avait envoyés à des maisons d’éditions ont été publiés par quelques uns, elle était triste en colère mais elle ne se sentait pas misérable. Des amis au courant de l’événement sur le prof lui dirent que c’était le style excessivement cool dont il s’agissait quand elle quitta le restaurant. Non, je ne regretterai rien, elle leur dit. La belle travaillait le jour et le nuit en six jours d’une semaine pour payer son loyer. Cette nuit était donc une nuit précieuse de la liberté rare pour elle. Et elle s’en aperçut. Oh, c’est quoi, ce type, que fait-il? Elle vit un homme sauter d’un toit à un autre et son but déterminé paraissait décidément s’approcher d’elle! Et tout à coup il a disparu de sa vue. Est-il tombé? Son coeur commença à se battre presque violemment. Au moment où elle décida de descendre à la rue, elle entendit des claquements du métal venus de l’escalier extérieur du bâtiment à côté du sien. Elle entendit la voix dire, je ne peux pas monter plus haut, on va se voir à la porte en bas?
Depuis cette nuit, deux amants se voyaient au toit sous le ciel de nuit. Il l’avait aimé dès qu’il a lu un récit écrite par la belle. Aimer? Le récit ou la belle? Qu’importe son coeur, lequel est le cas! Il refusa la proposition de publier le récit sous son nom et s’enfuit de sa vie familière. Sans difficulté, il trouva où habitait la belle. Un ami dont le domicile était dans le même quartier l’invita à son appartement à partager. Il attendit la plus belle nuit au toit. C’était son esprit amoureux qui le fit sauter d’un toit à un autre de suite à elle. Il préparait deux tasses de café le matin dans le petit espace à cuisiner, entouré de trois mur de brique dans l’appartement studio. Il y apportait son sac de couchage au cinquième étage en montant dans l’escalier étroit et spiral. L’espace était petit, l’amour était énorme. Le hasard et la chance de Dieu sont des cadeaux dont le niveau est au-delà des cieux. Néanmoins, il y avait une autre histoire sur l’autre terrain.
Pendant le prof était en voyage pour la conférence d’habitude, le premier né de sa deuxième femme subitement disparut et cessa d’aller à l’université. La ville était grande, ce n’était pourtant pas le mégalopolis de calamité en chaos capable d’avaler n’importe qui. La mère et ses amis, journalistes, découvrirent où était son fils et la nouvelle fit tomber à la mère dans une malade. Mon fils habite avec …. celle-là! La première femme du prof tomba également dans une malade par apprenant ce qui s’est passé à l’égard du meilleur manuscrit, récit de la belle, et l’échec de leur co-opération bien préparée, projetée, protégée, et soigneusement préméditée tourna intrinsèquement sa tête comme une trombe. Ces deux femmes étaient aussi accablement agacées au même haut degré sans mots à prononcer, mais plutôt télépathiquement en se disant ceci à l’immédiat. Il y a vingt ans entre l’âge de lui et l’âge d’elle! C’est à dire que le chiffre s’aumente du premier au second. Quant au prof, il s’aperçut, comme si frappé par le Dieu inconnu, combien il aimait la belle surtout son fils la saisit. Il pleura amèrement à la fois joyeusement en remerciant au Dieu inconnu de le faire savoir la nouvelle sensation de l’amour si authentiquement traditional qu’il n’avait pas sue auparavant. Je suis plus profond que ma propre compréhension de moi-même que j’ai tenue si longtemps, se dit-il en une émotion inouïe. Cela arriva au prof à la même belle nuit où les deux amants se posaient au toit sous la lune. Il dit à la belle. Tu veux continuer ta belle histoire de la lune? Elle lui répondit. Oui, si tu m’aimes comme ça sous la lune.
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عشرة
La dixième planète dont il s’agit à la fin de cet ‘‘essai’’ que vous traversez avec moi est la lune encore. عشرة est le chiffre arabe, dix. Je crois qu’il se prononce comme ‘a-sha-ra. Ce ‘‘ra’’, très dogmatiquement pour moi équivaudrait à ‘‘r’’ de ‘‘ravi’’ phonétiquement. Cet aspect auditoire me plaît. Mais le fait est que j’ai simplement tort et عشرة devrait se prononcer avec un son de langue par sa chute roulant et rapide dans la bouche. Et qu’importe, ma préférence personnelle! Je vois la lune, je pense à un rêve de la Terre. عشرة, ceci semble apparaitre ici tout à coup sans contexte au sens du terme compris raisonnablement. Mais qu’importent, les avis de ceux qui ne cherchent que le raisonnement dans mes écrits! Je suis une reine éphémère du sable sous la lune rêvant. Autrement je suis une plante patiente dans le desert, qui attend la dixième pleine lune de l’année. Une chanteuse de canzone au toit compte le rythme des deux amants. Un cinéaste moderne dit que le cinéma est une série de reproductions de l’enfance, peut-être sans fin. Toutes les choses doivent pourtant se terminer, évidemment. Tel est l’autre avis. Oh, non, non et non, pas encore! Nous voulons rester ici sur la Terre pour jouer plus! Oui, je le sais. Vous êtes possiblement en train de penser que cette dernière partie ait raté tout. Mais sachez que je dois rejeter une belle perfection que j’ai créée pour m’avancer et me mettre en la recréation de mon terme.